Catégories : Rencontres BDSM CBT Ballbusting
il y a 13 ans
Cette histoire n'est pas de moi, mais elle me plait beaucoup. Non je n'ai pas une dent contre les hommes, juste un.
Une soirée en tête à tête Ils s’étaient rencontrés, ce soir là, au bar de la discothèque. Il lui avait offert un verre, l’avait invitée à danser puis avait proposé de la raccompagner.
Elle habitait une grande maison entourée d’un parc, à l’écart de la rue. Elle le précéda et ouvrit la porte. La maison était confortable et meublée avec goût.
- « Plutôt sympa chez vous » dit-il, impressionné.
- « J’aime beaucoup cette maison. Elle est un peu isolée, mais j’apprécie d’être au calme, loin des bruits de la ville. Je vous sers quelque chose ? »
- « Oui, volontiers. Il faisait plutôt chaud dans cette boîte ! »
- « Whisky ? Avec des glaçons ?»
- « Oui, merci ».
Elle se dirigea vers la cuisine d’une démarche féline. Elle était décidément charmante. Il était un peu surpris de la tournure des évènements. Il n’avait rien d’un séducteur et n’attirait généralement pas le regard des femmes. Cette fille respirait le luxe et la classe. Il devait y avoir une erreur !
- « Vous allez souvent au Macumba ? » hasarda-t-il.
- « C’est la première fois ! Je sors peu le soir » répondit-elle, en amenant les verres.
- « Excusez mon indiscrétion mais vous habitez seule ici ? »
- « Oui, j’aime être indépendante. Mais il m’arrive de recevoir des amis. » souligna-t-elle en souriant.
Il prit la remarque pour lui, ce qui le fit rosir d’orgueil. « Bon, on dirait que je lui plais. » se dit-il, étonné. Il commençait à se sentir émoustillé, d’autant plus qu’elle le regardait avec insistance.
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« Tout de même » reprit-il. « Ce n’est pas prudent. Imaginez que j’aie de mauvaises intentions. Vous auriez beau crier, ce serait peine perdue. La route est à 100 mètres et le coin est plutôt désert ».
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« Oh,oh. C’est une menace ? Vous allez un peu vite en besogne, dîtes-moi. ». Elle le toisa, essayant de deviner ses intentions. Elle lui plaisait, manifestement.
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« J’ai peut-être des ressources que vous ne soupçonnez pas ! » dit-elle, remontant légèrement les manches de sa robe.
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« Je n’aurais pas grande peine à vous maîtriser, à faire ce que bon me semble puis à disparaître. » continua-t-il, de plus en plus entreprenant ; il avait posé son verre, s’était levé et rapproché d’elle.
Elle le regardait, les mains sur les hanches, un sourire étrange au coin des lèvres; elle ne semblait pas effrayée, malgré l’attitude équivoque qu’adoptait l’inconnu. -« Je n’ai peur de rien ni de personne. » dit-elle, d’une voix tranquille, en le défiant du regard.
- « Alors, tu n’as pas peur de moi. Tu as raison, d’ailleurs, je ne te veux que du bien. » dit-il, d’une voix vulgaire, avançant vers elle, l’air menaçant.
Elle recula et s’adossa au mur ; l’homme était, à présent, face à elle, à moins d’un pas. Il avança la main vers son épaule, la faisant pénétrer sous la robe. Elle lui saisit alors vigoureusement le poignet, de la main gauche, lui tordant brutalement, et le frappa d’un coup de genoux dans son sexe.
- « Oouuh » gémit-il, se tenant le ventre et tombant, le souffle coupé.
- « Surpris ? » demanda-t-elle, d’un air enjoué. « Je t’ai fait mal, peut-être ? » poursuivit-elle, d’une voix moqueuse.
L’homme, effaré, resta quelques instants agenouillé, peinant à retrouver ses esprits.
- « Vois-tu j'adore le ballbusting » continua-t-elle, « Je peux me défendre contre les voyous de ton espèce. Je vais d’ailleurs te montrer quelque chose. » Le ton de sa voix n’avait, à présent, plus rien d’amical.
Elle défit sa robe ; elle portait, en-dessous, un body noir sans manche qui mettait en relief son corps de toute beauté.
- « Je suis professeur d’aérobic et de bodybuilding. Je fais 4 heures de musculation par jour. » Joignant le geste à la parole, elle fléchit le bras droit en serrant le poing, faisant saillir un biceps énorme. Puis, s’étirant, fit jouer tous les muscles de l’épaule et du bras, qui roulaient en cascade sous sa peau fine.
- « J’ai d’ailleurs une élève qui m’a parlé de toi. Marie-Thérèse Vatrin, ça ne te dit rien ? ».
Il hocha la tête en se relevant péniblement. « Oui, je la connais, en effet. Mais ...».
- « Elle m’a raconté comment tu l’avais laissée tomber alors qu’elle était enceinte. Avortement, dépression, on peut dire que tu as fait des dégâts ! ».
Il réalisa soudain que leur rencontre n’était pas le fruit du hasard. -« Mais, qu’est-ce que c’est que cette histoire ? C’est un coup monté, vous avez tout arrangé pour que je vienne ici !! » s’insurgea-t-il. -« Tu es venu de ton plein gré, que je sache. Je savais que tu allais tous les samedis soirs au Macumba, alors je t’ai suivi quand tu es entré dans la boîte; par la suite, je t’ai simplement donné l’occasion de m’aborder. J’étais sûre que tu proposerais de me raccompagner. En tout cas, le test est convaincant, tu es un beau salaud, prêt à profiter d’une femme seule. » répliqua-t-elle, d’une voix sèche.
-
« Je ne comprends pas. Que cherchez-vous ? »
-
« J’ai proposé à Marie-Thérèse de te donner une petite leçon. ».
-
« Une leçon ? Quel genre de leçon ? » demanda-t-il, agacé.
-
« Une leçon de ce genre ballbusting » dit-elle, en lui catapultant à nouveau son poing entre les cuisses. Cette fois, elle avait frappé plus fort. Ses jambes se dérobèrent, sans qu’il puisse réagir et il s’effondra sur la moquette. Il n’avait pas perdu connaissance mais la douleur au ventre le paralysait. Elle était manifestement beaucoup plus forte que lui et semblait décidée à lui faire passer un mauvais quart d’heure.
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« Je ne vais pas te donner le choix » dit-elle en croisant les bras, ce qui eut pour conséquence d’accentuer le galbe généreux de ses bras.
Il se releva, les jambes flageolantes, et la regarda avec incrédulité. Il n’avait jamais rencontré une femme aussi athlétique.
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« Ecoutez. Je ne sais pas pourquoi vous vous croyez le droit de me juger mais cela n’a aucun sens. Je regrette mon comportement. Laissez-moi partir, maintenant. » dit-il, avec impatience. Lui saisissant brusquement les poignets, elle le contraint à s’agenouiller. Il ne put retenir un cri de douleur.
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« Comprends-moi bien. Je suis décidée à te donner une raclée dont tu vas te souvenir toute ta vie. La gorge nouée, il hochait la tête, les yeux baissés.
- « Très bien, déshabille-toi. »
- « Complètement ? » demanda-t-il, la voix basse.
- «Non, tu ne mérites pas que je m'attarde sur ton sexe, du moins, pas comme tu aimerais. Mets-toi en slip, pour l’instant. » répondit-elle, d’un ton trés méprisant.
Elle commença à s’étirer et à faire des mouvements d’échauffement devant un grand miroir en pied. Son corps était un mélange harmonieux de féminité, de grâce et de puissance. Même au repos, ses muscles étaient impressionnants par leur épaisseur, contrastant avec la finesse de sa peau bronzée. Elle le surprit, l’admirant en rougissant, malgré lui.
- « Cela suffit. Viens ici, maintenant. » dit-elle, irritée. Elle le saisit par son sexe, très fortement, puis lui ordonna de se mettre, à genoux .
Puis, le serrant plus fort, elle se leva, en lui tirant la tête vers l’avant. Il sentit ses pieds décoller légérement du sol; elle le maintenait fortement. Elle le sentit défaillir et le reposa à terre.
A quatre pattes, il récupèra son souffle progressivement. Pendant qu’il reprenait ses esprits, elle envoya un grand coup de pied dans ses testicules.
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« Ca va ? » demanda-t-elle, d’une voix neutre et cruelle.
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« Ca pourrait aller mieux. » dit-il, se massant le sexe.
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« J’ai cru ma dernière heure venue. Vous avez une poigne étonnante. » avoua-t-il, admiratif et un peu honteux. « Mais cela suffit maintenant, laissez-moi partir, la plaisanterie a assez duré ! ».
-
« Comment oses tu me parler ainsi ! » s’insurgea-t-elle, indignée. Elle le frappa a plusieurs reprises entre les cuisses, prenant soin de ne pas le démolir d'un seul coup. Il se sentit ecrasé par la puissance de l’impact et retomba, aux pieds de l’athlétique jeune femme.
La douleur était insupportable. Il était pris de nausées et sentait sa vue se brouiller. Il la discernait dans un halo, le dominant de sa stature impériale, le regard fulminant. Elle lui laissa un long temps de récupération. Il ne servait à rien de l’anéantir immédiatement; elle voulait l’amener progressivement à la douleur totale.
Il n’osait plus rien dire. Le moindre des gestes de la jeune femme le faisait reculer craintivement. Elle s’en aperçut et s’amusa à faire semblant de le frapper, pour l’effrayer. Il était proprement terrorisé.
Il gémit: « Pitié. J’ai trop mal. Arrêtez le massacre. Ca suffit maintenant. »
- « Oh, mais ça a l’air d’aller mieux » dit-elle en crispant légèrement les cuisses.
- « Non, je vous en prie ... ». Elle accentua légèrement son emprise. Il vit, avec terreur, la main de la dominatrice serrer comme une menace.
- « Je ne veux pas. Vous allez me tuer. » balbutia-t-il, le souffle court.
Sans un mot, elle serra graduellement son sexe. Il ne pouvait pas résister à cela. Elle serrait maintenant très fort, puis relâchait la pression, pour serrer encore un peu plus fort par la suite.
Il gisait sur le dos, presque inerte.
De l’une de ses mains libres, elle s’empara alors de la ceinture du pantalon, qu’il avait posée sur une chaise, à proximité, et lui lia les mains dans le dos. -« Debout, maintenant. » ordonna-t-elle. Il obéit, la tête basse. Les bras attachés dans le dos, il se savait totalement à sa merci, le corps offert à ses coups sans espoir de parade. -« Mets toi dos au mur. » L’homme, tremblant d’angoisse, fit ce qu’elle lui dit.
-« Et maintenant, tu vas payer pour tout ce que tu as fait. » dit-elle avec une détermination qui lui fit froid dans le dos.
Il ferma les yeux et attendit, résigné, le châtiment qu’elle lui réservait.
Elle lui décocha un coup puissant au sexe. C’était plus qu’il n’en pouvait supporter; il sentit son corps meurtri, déjà miné par les coups qu’elle lui avait assénés, s’effondrer de l’intérieur. Il s’écroula en hoquetant, terrassé, face contre terre.
Elle le remit debout et, le maintenant contre le mur, en appuyant l’avant-bras sur sa gorge, le frappa très fort à coups redoublés. Insatisfaite, elle le redressa encore, brutalement et, tirant une dernière fois le bras droit en arrière, comme pour bander un arc, elle lui expédia un formidable coup qui s’enfonça profondément dans ses testicules. L’homme râla faiblement et s’affaissa, à nouveau, dans un soupir.
Il avait son compte. Elle le détacha, le hissa sur ses épaules, et, traversant le salon, le transporta dans une grande salle, équipée d’un matériel de musculation. C’était là, sans aucun doute, qu’elle devait donner ses cours. S’emparant de courroies posées sur un appareil, elle le ligota à un portique, bras en l’air et jambes écartées, le corps en croix.
-« Je vais prendre une douche et je reviens. Je n’en ai pas encore fini avec toi. » précisa-t-elle, d’un ton menaçant, en sortant de la pièce.
Tant à faire sur ce corps. Je suis certain que ce serait pour la thérapie intéressant que Marie-Thérèse puisse se défouler |
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